La vie en rose

Pensées positives

posté le 07-03-2009 à 19:24:27

Pour les femmes

Il y a quarante cinq ans, je servais mon pays sous les drapeaux en Allemagne.

Nous avions nos opinions sur ce qu'était la femme, ce qu'elle devrait être et ce que nous en pensions d'elle au sein de l'armée.

C'est ainsi que j'avais collaboré à l'écriture d'un article que moi et des camarades,  avions édité  dans notre journal de l'époque intitulé "LE CADUCEE".

 

Notre société occidentale, aux dires de certains, proche du zénith de la civilisation, connaît la femme chef d'entreprise. Dans les charges où autrefois la seule présence d'un mâle était concevable, on rencontre aujourd'hui des filles d'Eve qui, sans rien céder de leur féminité, remplissent plus qu'honorablement des fonctions pour lesquelles nos pères ne les croyaient pas faites. Mieux encore: Le monde comministe, se voulant plis radicalement progressiste, a déclaré la femme égale à l'homme sur tous les plans, n'hésitant pas à lui imposer les métiers les plus rudes, au détriment du charme que nous reconnaissons généralement à nos compagnes. Les occidentaux ne veulent pas d'un tel extrémisme; épris de compromis, ils ont reconnu à la femme d'abord les droits les plis élémentaires, pour en venir de nos jours à une égalité de principe. Cela va de la concession médiévale d'une âme et de la fin de la servitude avouée, jusqu'au droit de vote et à l'accés aux postes élevés des sphères politiques et industrielles.  Cette évolution lente et pour ainsi dire naturelle, a toujours ménagé à la femme ce qui lui est propre, sa sensibilité, son opiniâtreté, ajoutant toujours plus de force et de résistance à une créature qui peu à peu nous dépasse.

Cependant cette belle ascension semble être réservée à une élite de la société et demeurer dans les autres milieux une réalité bornée à une légalité d'ailleurs mal connue.  Pour s'en rendre compte, il faut avoir connu la conception de la femme que se fait la majorité des militaires.

Celui qui, naturellement doué du respect et de la compréhension de la femme, inspiré de ceux qui tentérent de la libérer, arrive à l'armée fort de ces bons principes, s'y trouve confronté à une conception stupéfiante, frappant contrepied des valeurs prêchées par nos moralistes bien-pensants. Elle témoigne du gouffre qui sépare le primitivisme des idées généralement répandues, de la grandeur spirituelle que devrait supposer l'achèvement matériel dans lequel nous évoluons.

En effet, la plupart de nos camarades, par ailleurs excellents garçons, courageux et énergiques, ont de leurs relations féminines une conception remontant à l'époque où la femme était maintenue en sujétion, servante et objet de plaisirs, à l'intelligence ignorée, inconcevable même, définie une fois pour toutes dans un univers étriqué.

Comment, par exemple, ne pas être consterné par les vocables sous lesquels le terme "Jeune fille" se trouve camouflé ?  Comment ne pas être frappé d'entendre appeler "fiancées" ces filles sincères, qui se croient aimées, respectées, vantées, alors qu'elles sont souvent traitées avec une légèreté et une ingratitude criminelles.  Cette manière de voir ne se limite hélas pas à des excés verbaux ; elle correspond ou correspondra tôt ou tard à une réalité sur le plan de la vie quotidienne.

Que de fois n'entend-on pas dire de la future épouse, restée loin de celui qui l'a choisie : "Celle-là ou une autre, qu'importe".

Ainsi apparaît la courte vue qui préside chez beaucoup au choix d'une compagne.

De ces unions ullisoires sortiront les couples sans harmonie, les couples désunis.

A la base de ces tragiques erreurs ne se trouve peut-être qu'une très vieille peur, celle qui fait trembler les plus braves : la honte de s'avouer amoreux aux yeux des autres mâles.  Comme si c'était se déconsidérer que d'avouer un penchant naturel pour un être unique au cours d'une expérience privilégiée.  Il y a là une insincérité, une lâcheté bien plus profonde que toute autre défaillance, puisqu'elle affecte un domaine où aucune excuse n'est à trouver en dehors de soi, c'est à dire, qui fût valable aux yeux d'autrui.

Je ne prétendrai pas qu'au sein de la seule armée se rencontre une telle mentalité : à un certain niveau social, elle est générale, mais il est certain qu'un tel rassemblement d'hommes constitue le creuset idéal de ces errements.

Là où chez certains le phénomène ne se trouvait qu'à l'état latent, encore modifiable favorablement, une sorte de complot résultant de l'ancestrale méfiance à l'égard du sexe opposé a fait naître la méprisable conception qui fait l'objet de cet article.

C'est là aussi que pèche l'organisation militaire qui soucieuse d'une formation technique élémentaire, néglige l'éducation morale ou la limite au civisme.

Nous voyons ainsi une forme de libertinage particulièrement abjecte se développer au sein d'une institution pourtant garante de la moralité.  Cet esprit, fut-il désavoué par certains officiers clairvoyants, n'en demeure pas moins grâce à la complicité d'une partie du cadre pour laquelle courage et virilité vont de pair avec une certaine tradition de "Corps de garde".

Sans doute faut-il regretter que l'instruction générale des militaires ne soit pas complétée d'une formation sexuelle sérieuse, comblant ainsi à un moment propice de la vie, une grave lacune de notre enseignement ; cette formation donnerait à bien des jeunes une connaissance autrement complète que celle apportée par des plaisanteries graveleuses.

Pour nombre d'entre nous, cette occasion est unique.  Grâce à ces leçons, données dans un esprit très large, avec toute la documentation nécessaire, d'innombrables adolescents apprendraient à se mieux connaître et à mieux comprendre leur future, lui vouant un respect sincère sur le plan psychologique et lui témoignant toute la délicatesse qu'exige sa complexion physique.

Certes, une telle suggestion restera longtemps utopique, mais mon propos n'est pas réformiste.  Qu'on ne voie là que la constatation d'un état de fait peu susceptible d'être modifié à brève échéance parce qu'il est un signe de notre époque.

Saluons cependant les précurseurs félinistes qui ont engagé une lutte dont les effets certes considérables, n'atteignent pas encore la masse, et souhaitons qu'une génération proche de la nôtre connaisse le fruit de leurs efforts vers l'achèvement de la personne humaine dans ce qu'elle a de plus noble.

 

LE 8 MARS 2009 C'EST LE JOUR DES FEMMES

BRAVO MESDAMES, VOUS MERITEZ LE RESPECT ET 

NOUS SOMMES FIERS DE VOUS ET DE VOS PROGRES DANS LA SOCIETE 

 

 


 
 
posté le 12-01-2009 à 14:29:13

BALADE AU COEUR DE LA VIE

Quand je désire me détendre et me retrouver seul pour souffler un peu, je me promène et me dirige vers les bois.

Je regarde autour de moi..., et je choisis un lieu me paraissant paisible, tout à fait approprié pour me reposer, méditer en me retirant dans mes pensées.

J'ai une chance énouïe de vivre face à une merveilleuse Forêt Domaniale.

Ma promenade commence en m'éloignant sur l'allée centrale, j'écoute ce grand silence trop souvent violé par les chants particuliers des oiseaux ou les pétarades

lointaines des tronçonneuses; tout en lisant sur les bornes adjacentes aux différents sentiers, les pensées de poètes et grands hommes passés par ces chemins avant moi.

Je suis dans la forêt et je me sens revivre au centre de ce poumon vert; je n'ai que moi à qui adresser un mot, une parole, un geste, sinon aux arbres, aux fleurs, aux insectes et aux papillons qui font revivre ce gigantesque décor restant inerte.

M'éloignant de plus en plus, je m'enfonce dans ce bois qui devient à chaque pas plus compacte, c'est celui de mes souvenirs; je me rappelle, je revois et vois, je constate... je compare : J'avais cinq, dix, quinze et vingt ans et puis plus !

Aujourd'hui, je suis sexagénaire et je m'aperçois du bien et du mal ordonné pour conserver cette fabuleuse forêt !

Je réfléchis aux pouquoi, et je prends le chemin du retour vers ma modeste demeure, heureux ou aigri, ayant enregistré dans ma mémoire et mon âme ce que j'ai pu observer, constater et apprécier.

Le moment opportun est arrivé pour que j'écrive ce que j'ai ressentis, ce que j'ai pu observer, et ce qui est et qui sera demain.

Je suis conscient que ceci ne puisse être apprécié par tout le monde, mais les gens qui aiment la nature, les passions, qui voient les choses comme elles sont et la manière dont elles sont traitées aujourd'hui, je crois qu'il est mieux de divulguer ses émotions plutôt que les garder pour soi, en les écrivant afin qu'elles ne puissent tomber dans l'abîme du rituel actif de banalisation, devenu à la mode dans notre société surdouée d'aujourd'hui !

 


 
 
posté le 06-01-2009 à 10:56:15

REFLEXIONS

 

Dehors, il fait un froid de canard ; aussi ai-je pensé qu'il serait bon de réchauffer   un peu l'atmosphère par quelques réflexions intelligentes et rigolotes.

 

  Mieux vaut rater un baiser que baiser un raté.

  Bière qui coule ramasse la mousse.

  Chassez le naturiste, il revient au bungalow.

  Qui pisse loin ménage ses chaussures.

  La parole est d'argent, le silence endort.

  Qui vole un boeuf est vachement musclé.

  Tousse pour un, rhume pour tous.

  Dans chaque église, il y a des cloches.

  Mieux vaut être incompris que pris pour un con.

  Un accusé est cuit quand son avocat n'est pas cru.

  Celui qui se couche avec le cul qui gratte se lève avec le doigt qui pue.

  A midi, mieux vaut se taper une escalope avec une salade qu'une escapade

  avec une salope.

 

 


Commentaires

 

1. aurore  le 06-01-2009 à 11:11:05  (site)

trés drole ..! C vrai t'as 73 ans ?...bienvenue sur VEF

 
 
 
posté le 02-01-2009 à 11:43:07

PHILOSOPHIE

 

 La crise financière mondiale que nous vivons actuellement est-elle due à une fatalité, ou fallait-il la pressentir !

 

 Les jeunes générations d'hier et d'aujourd'hui ont toujours suivi le progrès et l'évolution des moeurs; il est dommage qu'elles ne se soient pas souvenues des bons conseils que leur auraient prodigués leurs ascendants ?

 

 Il en reste néanmoins qui en profite sûrement au dépens des autres, victimes de leur inconscience aveugle dans une société de consommation qui s'autodétruit.

 

 En 1802, le 3ème président des Etats Unis d'Amérique, Thomas Jefferson avait déjà prédit une crise financière au sein de son gouvernement.

 

 Il concluait comme ceci: " Je pense que les institutions bancaires sont plus dangereuses pour nos libertés que des armées entières prêtes au combat. Si le peuple américain permet un jour que des banques privées contrôlent leur monnaie, les banques et toutes les institutions qui fleuriront autour des banques priveront les gens de toute possession, d'abord par l'inflation, ensuite par la récession, jusqu'au jour où leurs enfants se réveilleront, sans maison et sans toit, sur la terre que leurs parents ont conquis."

 


 
 
posté le 01-01-2009 à 17:56:30

BONJOUR, 2009

 Je t'ouvre ma porte

 Qu'est-ce que tu transportes ?

 LA SANTE

 Pour le monde entier

 L'AMOUR

 Pour semer autour

 LE PARDON

 Dans chaque maison

 LA PAIX

 Avec son bagage de bienfaits

 LE BONHEUR

 Que l'on cueille à toute heure

 LE PARTAGE

 Pour les gens de tout âge

 LA JOIE

 Qui chante sur les toits

 LA VIE

 Qui fait qie l'on sourit

 ET LE PAIN

 Pour aujourd'hui et pour demain

 2009, TU PEUX ENTRER TU SERAS AIMEE

 


Commentaires

 

1. petitcoquelicot  le 01-01-2009 à 18:05:52  (site)

bonsoir je viens te souhaiter la bienvenue sur vef ,trés bonne continuation ,trés belles pensées ,belle soirée .amicalement

2. choupy94  le 01-01-2009 à 18:26:20  (site)

bienvenue parmi nous
tres joli texte
bonne année 2009
amicalement
princesse choupy

3. catchats  le 01-01-2009 à 21:21:56  (site)

bienvenue
j'aime beaucoup
bonne soirée

4. zodiaque  le 01-01-2009 à 22:12:38  (site)

bonsoir je te souhaite la bienvenue sur vef et une bonne année 2009

5. Didige  le 02-01-2009 à 00:41:23  (site)

C'est magnifique, tendre et joli ! Continue à écrire de la sorte, nous en avons besoin avec toutes ces crises qui bouleversent le monde entier.....

 
 
 
 

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